Il est passé en un éclair.
Il a été mon tonnerre.
J'ai cru à un ange.
il a été mon Lucifer.
La mort ne coupe ni de l'amour ni des sentiments.
la fin de la vie n'est pas celle de la passion.
La vie n'est donc bien qu'un chemin dont la finalité n'est pas son terme mais sa négation.
Ou sa jouissance.
Il est venu à moi, ou moi à lui.
Nous nous sommes croisé comme une ombre croise son désir.
Réminiscence ou entropie.
Il a laissé cette ruine en esclavage.
J'ai retrouvé votre route.
Grace à la lumière.
Celle que la peine met en contraste.
L'ouverture n'était donc possible qu'en contre-jour.
Ce soir, je sais.
Que je ne serai plus jamais.
Dieu, cette liberté sera mon éternelle érrance.
Ce soir j'ai déployé mes ailes.
Je suis en route vers vous.
Nous y voilà...
Angel ?
M'entends-tu ?
J'ai hébergé ton blog ici.
En as-tu perdu le fil ?
T'est-il arrivé un drame ?
Tes mots me manquent...
Reviens Princesse...
Nicolas
je l'ai apperçue il y peu. Sans doute un diable... A bientôt...
[musique : Download 12_malted_milk.mp3 ]
Je ne vous vois pas, ne me vois pas, ne vois pas.
Je ne vois que des souvenirs.
Comme dans un rêve, je pense et ne peux vraiment agir.
Si c'est cela la mort, pourquoi ai-je donc brulée ma vie ?
La drogue, l'abus de tout, de sexe, d'expériences, de laisser-aller, de fêtes, d'alcool, de malbouffe et autres dépendances, m'ont menés là d'où je n'ai su revenir.
Là d'où l'on ne peut revenir.
En me concentrant intensément, je peux cela-dit m'adresser à vous.
Puissiez-vous ne jamais rennoncer au Wi-Fi...
Ce qui me manque le plus ?
Des bras tendres, un grand vin et un orgasme...
Juste un de plus, juste vivre un instant encore.
février 19, 2005 | Lien permanent