Il était une fois, quelque part, dans le lieu le plus à l’Ouest, un petit bout de monde merveilleux. Là-bas, les gens vivaient. Ils vivaient de la mer. Il n’y avait pas de policiers, car il n’y avait pas besoin de policiers. Il n’y avait que des amis, des voisins, des familles… Et la mer à côté. De temps à autre, la mer attrapait l’un d’eux. C’était ça le malheur. Sans doute le seul.
Un beau jour, un Homme est arrivé. On l'appelait l'Homme, car c'était son nom. L'Homme vit combien ce pays était bon, et il décida de s’y installer. Comme il n’avait rien, des amis, des voisins, des famille l’ont accueilli. Pendant 10 ans. Dans ce nul part coupé du monde, personne ne connaît vraiment le sens du mot étranger. Alors l’Homme est devenu l’un d’eux.
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C'est trop joli !
Rédigé par : NGK | 17 octobre 2005 à 23:48
Suite: Je viens de terminer de lire l'article en entier. C'est magnifique mais c'est terrible. Toutes mes condoléances à Manfred Man. Puis je retourne sur ta photo des hydrauliques, sur ses perspectives abyssales sublimes...
Rédigé par : NGK | 17 octobre 2005 à 23:54
je l'avais déjà lue ... c'est incroyable comme histoire vraie... en marge de l'histoire, peut-être là où se construit la vraie vie... d'abord le rêve et puis... le reste (pensées pour manfred man)
Rédigé par : malisan | 19 octobre 2005 à 18:58
Bonjour,
je suis l'auteur du site... (si je peux me permettre)je vous remercie pour Manfred Man de diffuser cet article, et, à travers vous tous, de diffuser son message...
je viens de recevoir un courrier de Noël Mamère, co-auteur du film. Il a été très touché par les messages des visiteurs. Et nous remercie (avec beaucoup de respect d'ailleurs).
Merci à vous, vous faites un travail exceptionnel,
très amicalement,
fredo-dido
Rédigé par : Fredo | 21 octobre 2005 à 13:09
Chance de revoir le film en entier. Approche sensible, respect, et permis d'aimer en photo.
Sentiment qui grandit au fil de l'histoire. Man l'a communiqué. A quel prix. Ma larme versée retourne à la mer.
Man touche la conscience du proche, du village, de plus loin.
Pas de technique diabolique quand l'homme ne l'est pas.
Répercuté par les vivants, un amour incommensurable
pour une nature, patiente avec nous jusqu'ici.
Il l'a aimée plus que sa vie.
Très beaux textes, film, photos,
pierres et plume.
Touchée.
Rédigé par : F. de C. | 04 novembre 2005 à 22:49