La biodiversité est mise en avant, les espèces menacées ont des
plans de sauvegarde, on continue de parler de réserves naturelles et de parc
naturels.
C’est effectué à l’échelle nationale et malgré tous les écarts
tolérés d’ici et de là, on ne peut que louer l’effort.
Cependant, je ne vois toujours pas venir une solution mondiale efficace visant à protéger les plus grandes sources de biodiversité telle que la forêt amazonienne.
Le secteur des laboratoires de recherche pharmaceutique est pourtant un des premiers à être pénalisé par la diminution (destruction) des mondes vivants.
Etant donné l’argent brassé aujourd’hui par ces organismes et
la source économique que représentent les milieux écologiques et certaines
niches, je m’étonne presque qu’il n’y ait pas un accord mondial pour préserver
ces intérêts.
Nous ne parlons pas là de toute façon de prise de conscience ni d’aide aux pays comme le Brésil qui n’ont presque d’autres choix que la déforestation.
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