Le monde que l'on connaît, se trouve face à une crise écologique
majeure, sans précédent dans l'histoire de l'humanité. La pérennité, à
priori plausible, de l'espèce humaine, est remise en cause par le
comportement de l'homme.
S'ajoute à cela le malaise ou naufrage social, au sud mais bien évidemment au sein des pays occidentaux qui ne cesse de prendre de l'importance, les disparités s'accroissent sans fin.
Crise écologique et crise sociale sont les conséquences du tout économique et du productivisme forcené qu'il engendre. Conditionné par l'idéologie de consommation, ayant une foi aveugle en la science et le « progrès » pour résoudre tous nos problèmes, nous cherchons des réponses sans se poser les bonnes questions. Nous souhaitons tous une planète propre, une égalité entre les hommes et une solidarité planétaire mais sommes incapables de nous remettre en cause. De ce point de vue, le mode de vie d'un européen n'est pas plus négociable que celui d'un américain. Et pourtant, nos modes de vie ne sont pas soutenables au niveau planétaire, on le sait. L'homme tout puissant maîtrise tout, pourtant sa descendance n'est pas sûre de lui survivre.
Actuellement sous l'impulsion d'un libéralisme mondial, nos sociétés capitalistes de marché, dont le but est la production de richesses, vouent un culte irraisonné à la croissance, lire croissance économique, nécessaire pour soutenir la consommation et donc l'emploi. Le PIB est le centre de préoccupation de tous les gouvernements en place. Cela signifie que tout est fait pour accroître une valeur qui correspond en fait à la production de « richesses ». Savoir si ces richesses sont obtenues au détriment de guerres, de catastrophes naturelles, de traitement des pollutions nous importe peu du moment que le PIB augmente. Ce système ne comptabilise pas ce qui est non marchand mais tente par ailleurs de tout transformer en marchandise, jusqu'à une marchandisation du vivant.
Cette recherche sans concession de la croissance entraîne un pillage des ressources naturelles de la planète et une destruction de celle-ci et par la même occasion de l'humain.
En prenant d'autres indicateurs que le PIB, tenant compte de la joie de vivre, du bonheur ressenti des populations, par exemple, on s'aperçoit que les pays occidentaux se sont arrêtés de « croître », on pourrait dire humainement, depuis les années 1970-80. N'est-ce pas remarquable ?
Politiquement, de la gauche radicale à la droite ultra-libérale, verts y compris, la croissance est la solution et non le problème.
Un changement de paradigme s'impose, il est plus que nécessaire de modifier en profondeur notre manière de voir. Un enfant de 5 ans, lui, comprendrait qu'une croissance exponentielle est impossible dans un monde aux ressources finies.
Source ici
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S'ajoute à cela le malaise ou naufrage social, au sud mais bien évidemment au sein des pays occidentaux qui ne cesse de prendre de l'importance, les disparités s'accroissent sans fin.
Crise écologique et crise sociale sont les conséquences du tout économique et du productivisme forcené qu'il engendre. Conditionné par l'idéologie de consommation, ayant une foi aveugle en la science et le « progrès » pour résoudre tous nos problèmes, nous cherchons des réponses sans se poser les bonnes questions. Nous souhaitons tous une planète propre, une égalité entre les hommes et une solidarité planétaire mais sommes incapables de nous remettre en cause. De ce point de vue, le mode de vie d'un européen n'est pas plus négociable que celui d'un américain. Et pourtant, nos modes de vie ne sont pas soutenables au niveau planétaire, on le sait. L'homme tout puissant maîtrise tout, pourtant sa descendance n'est pas sûre de lui survivre.
Actuellement sous l'impulsion d'un libéralisme mondial, nos sociétés capitalistes de marché, dont le but est la production de richesses, vouent un culte irraisonné à la croissance, lire croissance économique, nécessaire pour soutenir la consommation et donc l'emploi. Le PIB est le centre de préoccupation de tous les gouvernements en place. Cela signifie que tout est fait pour accroître une valeur qui correspond en fait à la production de « richesses ». Savoir si ces richesses sont obtenues au détriment de guerres, de catastrophes naturelles, de traitement des pollutions nous importe peu du moment que le PIB augmente. Ce système ne comptabilise pas ce qui est non marchand mais tente par ailleurs de tout transformer en marchandise, jusqu'à une marchandisation du vivant.
Cette recherche sans concession de la croissance entraîne un pillage des ressources naturelles de la planète et une destruction de celle-ci et par la même occasion de l'humain.
En prenant d'autres indicateurs que le PIB, tenant compte de la joie de vivre, du bonheur ressenti des populations, par exemple, on s'aperçoit que les pays occidentaux se sont arrêtés de « croître », on pourrait dire humainement, depuis les années 1970-80. N'est-ce pas remarquable ?
Politiquement, de la gauche radicale à la droite ultra-libérale, verts y compris, la croissance est la solution et non le problème.
Un changement de paradigme s'impose, il est plus que nécessaire de modifier en profondeur notre manière de voir. Un enfant de 5 ans, lui, comprendrait qu'une croissance exponentielle est impossible dans un monde aux ressources finies.
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