ChampG : blog collectif des Freemen / politique, société, changement climatique et météo demain, croissance ou progrès - réseau de blogs

Ecotourisme

« Le tourisme et les activités annexes contribuent à raison de 3,3 billions de dollars à l’économie et génèrent environ 11% du PIB mondial ».
En France et dans beaucoup de pays occidentaux et/ou industrialisés, le tourisme est devenu une source de revenus non négligeable et ces nations se responsabilisent pour préserver leur environnement.
Allez savoir si certains sites ne sont pas sauvés que par intérêt économique...

Cependant, aujourd’hui les destinations se veulent exotiques au dépend des populations et régions.
Depuis une dizaine d’années, de nombreuses chartes ont vu le jour visant à faire prendre conscience des impacts du tourisme.
Certains professionnels parlent désormais de label environnement, d’écotourisme et de tourisme équitable.
Des voyages s’organisent avec une participation sur le billet pour préserver l’environnement accueillant les touristes, voire pour aider les populations.
Les voyages sont plus participatifs, instructifs et enrichissant d’un point de vue humain tout en respectant

la Nature.

La prise de conscience est encore loin d’être totale alors que tous les prix sont tirés vers le moindre coût et que le low cost prend ses aises dans tous les esprits.

Alors louons les initiatives.

Exemples parmi d’autres :

Ecotours

Croqnature

Couleurs sensations

 

Source : Article de R Delaunay / L’Eco Cité 2005 Automne

Bush : les années « War and Hate »

Si « Peace and love » a été le slogan des années 70, le slogan des années 2000 sera peut être « War and Hate».

L’espoir de paix né en 1989 avec la chute du mur a dérangé les intérêts des tenants de l’économie de Guerre. La guerre froide n’avait plus de raison d’être et Dick Cheney, secrétaire à la défense a annoncé l’amputation de 180 milliards de dollars dans le budget de la défense » dans l’année qui a suivit. Alors il fallut « fabriquer » en toute hâte de nouveaux ennemis (à haïre) pour vendre des avions ou des canons.

Mais on sent bien que le bien et le mal, la guerre et la paix dansent peut être un dernier tango de plus en rapide. On a parlé de la fin de l’histoire (Fukuyma), je pense que l’analyse était juste. C’est comme la nouvelle économie, il suffisait d’être patient ... on reconstruira peut être bientôt quelque chose de meilleur.

Eco-consommacteur

Découvert via Be-Shanti ce TOP 10 des produits ayant le plus faible impact écologique, catégorie de produit par catégorie (en cours de développement).

A suivre...

Les petits papiers -air connu-

Lorsque vous devez gérer le dossier « Traitement des déchets » d’une belle PME, vous vous retrouvez partagé entre une sensibilité personnelle pour l’efficacité environnementale du projet et les objectifs économiques imposés.
Vendre ses idées « écologiques » à sa propre Direction a des limites.
Ce serait presque logique.

Par exemple, pour être rentable, le recyclage du papier doit avoir un volume minimum dans l’entreprise afin d’installer les récupérateurs et organiser la filière de retraitement.
Il est souvent plus rentable (rentabilité) de tout passer en DIB (Déchets Industriels Banals).

A l’heure où l’informatisation des systèmes d’informations est réelle, nous consommons pourtant de plus en plus de papiers. L’impression des documents est presque systématique, pour relecture, pour archivage ou pour transmission.

Dans beaucoup de domaines professionnels, notre attention s’étiole parce « ce n’est que le boulot », ce n’est pas notre vie.

Post-It :
Quotidien durable

Action Consommation

Penser n'est pas tout

C’est encore un mauvais réflexe du temps de l’insouciance, il m’arrive de laisser le robinet ouvert lorsque je me brosse les dents. Toutefois, j’ai ce sentiment d’être concerné par la Planète et sa survie.
Egoïstement pour mes enfants et naturellement pour ceux des autres, qu’importe leurs couleurs, d’autant que l’on s’aperçoit aujourd’hui que nous ne sommes pas les plus malheureux en France.

En adhérant aux Freemen, j’étais cependant dans le bon état d’esprit.
C’est un réseau de Pensées, une communauté d’Esprits.

Cela me rappelait pourquoi j’avais voulu faire, bien que non abouties, ces études universitaires en Sciences Naturelles, autrement dit, en Sciences de la Vie et de la Terre.

Alors oui, je pensais, comme beaucoup d’entre nous, être responsable face à

la Terre. Ou

tout du moins n’être pas le plus irresponsable à mon niveau, ce qui est un moindre mal.
Il est des situations où il faut se contenter de peu. Jusqu’à ce que…

J’ai donc fait ces tests. Comme il y en a tant.

L’objectif de ces questionnaires aux formes ludiques, c’est de permettre la prise de conscience et de communiquer des chiffres concrets.

Je me suis rendu à l’évidence, tant au niveau de ma production personnelle de CO2 qu’au niveau de ma lucidité face aux problèmes environnementaux, je suis à des années lumières de ma fierté d’adulte humain responsable.

Même si je ne pouvais vraisemblablement répondre juste à l’ensemble des questions, je n’avais pas les notions correctes de volumes et d’influence pernicieuse de nos écarts à tous.

Rendons nous compte que de penser être responsable n’est même pas suffisant.

A vos tests.

Sources:

ADEME

CLIMACT

Science&Vie n°1057 / Octobre 2005

Un jeu de société pour sauver la planête

Tout commence par un slogan : « Notre planète est en danger, sauvez-là. »  Tract ? Pétition ? Programme politique ? Non, jeu de société. Et sa règle est plutôt détonante. Le joueur débute la partie à la tête d’une entreprise traditionnelle mais peu respectueuse de l’environnement. Le but : s’enrichir le plus vite possible… en construisant une usine la plus propre possible. Ce jeu répond au petit nom de Kyogami, hybridation sémantique des accords de Kyoto et de « game » (jeu). Il devrait être disponible au prix de 30 euros pour les fêtes de fi n d’année. Son inventeur, un Français, est salarié chez… EDF.

Le jeu > www.kyogami.com
Source > article à lire sur Terra Economica