Pas une de belle, pas une de noble ni de grande et c'est de pire en pire. Ce ne sont plus les soldats qui meurent. Ce ne sont plus les guerriers qui tombent.
Celle(s) qui se prépare et gronde depuis tant de temps, celle qui ne s'est jamais vraiment arrétée, celles de despotes et d'intégristes, celles pour un bout de terrain ou une ruine symbolique, celle qui rend électrique cet Orient parfois trop proche et pourtant si lointain en bien des sens, celle qui a tué et fait tuer l'ombre même des démocrates... Celle-là est la pire de toute. Les "Cinq" en appellent à l'ONU dans le dossier (on eu pu dire bourbier) Iranien, l'autre fou en rajoute et surf sur la peur panique née (vraiment ?) de l'arrivée au pouvoir du Hamas. Terre des Dieux vous dites ? C'est qu'il a la main lourde et désinvolte, le grand, alors : Damas, Islamabad, Jerusalem (...) ça pue la poudre dans ce coin. Et c'est pas neuf. Y'a pas de date limite de consommation ?
Ces guerres-là sont à l'image d'autres combats : nos mots n'y changeront rien.
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