Je voudrais réhabiliter ici une expression avec laquelle il faudra sans doute composer : le "moins pire". [img]

La rue gouverne. Au Népal elle a imposé (momentanément) sa solution. Tant mieux (quand même). En France, elle a laissé passer la loi sur "l'égalité des chances" (sic) en se félicitant d'avoir tué sans expérimentation plus ou moins législativement modifiée son épouvantail CPE. Le gouvernement tente, lui, de se survivre. L'on pourrait s'en féliciter. De quoi ? Et au final, est-ce l'essence même de la démocratie qui s'exprime ou une dangereuse dérive populiste ? Est-ce le signe ou le choix d'un moins pire sociétal ?
En terme de péril environnemental, le moins pire serait de changer, tous, nos attitudes, nos actes de cosommation, de ménager notre emprise écologique et les risques engendrés pour notre biotope. Le moins pire. Le mieux est il imaginable s'il l'on ne concède pas en amont au moins pire ? Peut-on accuser les verts d'être nuls en se sachant coupable d'une flemme circonstancielle sans borne ?
Le moins pire comme chemin de vie, comme horizon. Effectivement l'on fait plus "bandant". Mais si l'on accepte que le moins pire serait de se survivre, cela me permettrait de retrouver le goût d'un journal des véritables" bonnes nouvelles" que je peine à construire en traquant l'actu.
Le moins pire est il de gauche, est il d'avenir, à ce propos ?
Le moins pire comme fond de commerce ; j'aurais rêvé plus mieux.
Le moins pire est il de gauche, est il d'avenir, à ce propos ?
Le moins pire comme fond de commerce ; j'aurais rêvé plus mieux.
Commentaires